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L'instruction en Nouvelle-Calédonie
L'instruction en Nouvelle-Calédonie
Retour à la liste des albums1859 - Ecole communale des garçons et collège à Nouméa
En 1859, l'école des jeunes garçons de Port-de-France est officiellement ouverte par l'Administration. Jusque là, l'enseignement était assuré par un sous-officier.
Pénitencier de l'Ïle Nou
Longtemps dépourvue d'enseignement supérieur, la Nouvelle-Calédonie possède aujourd'hui son université. Créée en 1988 sous le nom d'université du Pacifique (université bicéphale qui avait son siège à Tahiti), elle devînt autonome en 2000 sous le nom d'Université Française du Pacifique.
Colonies Française
Construit et conçu pour les besoins de l'armée, le quartier de l'Artillerie rassemble, pendant plus de cinquante ans, caserne, jardins de troupe, écuries militaires, logements et artillerie proprement dite. Aujourd'hui, l'armée se partage l'espace avec le vice-rectorat car un collège et deux lycées y sont implantés.
1975 - Funérailles d'un chef
Les établissements scolaires honorent souvent les grands noms calédoniens. Un collège de Nouméa prend le nom de Jean Mariotti (Farino, 1901 - Paris, 1975). Cet écrivain marque la littérature française par ses contes, romans, nouvelles et poèmes qui narrent le monde mystérieux de la Nouvelle-Calédonie.
Nouméa - Rue du Gouvernement
Le vice-rectorat, en ce début du XXIe siècle, détient le plus gros budget et représente le plus gros employeur de Nouvelle-Calédonie.
1936 - La mission d'Hienghen
En 1936, on compte 3959 élèves canaques répartis dans les 80 écoles de tribus dont 27 sont publiques. Il faut attendre la fin des années soixante-dix pour que 80% des enfants de Brousse soient scolarisés.
1913 - Enceinte du Camp des condamnés aux travaux forcés de Montravel
Une école de formation des moniteurs indigènes est créée en 1913 à Montravel, mais elle n'est réellement organisée qu'en 1919. Après la seconde guerre mondiale, elle est transportée à Nouville.
1903 - Entrée de la rivière à Houaïlou
En 1903, le pasteur Maurice Leenhardt fonde, à Houaïlou, une institution scolaire protestante, Do Néva. Il mène alors une grande réflexion sur le monde canaque.
1890
A la fin des années 1890, le Conseil général reconnaît "qu'en astreignant les indigènes au paiement de la capitation, la colonie a pris envers eux l'engagement, au moins, moral, de les faire bénéficier des bienfaits de la civilisation". Quelques classes sont alors ouvertes: le service local prend à sa charge la solde du moniteur tandis que la tribu fournit le gîte et les vivres.
1914 - Païta, sur les bords de la rivière
La scolarisation ne devient obligatoire qu'en 1914 pour les enfants domiciliés à moins de 4 km d'une école, mais elle restera encore partielle jusqu'en 1958.
1913 - Collège "La Pérouse"
En 1913, l'armée cède à la colonie le bâtiment Flize qui devient le premier collège permettant aux élèves de poursuivre leurs études en Nouvelle-Calédonie jusqu'au baccalauréat.
1899 - Thio
Sous l'impulsion du gouverneur Feillet (1894-1902) et à la demande des municipalités, les écoles se multiplient dans l'ensemble des villages de Brousse. Financées en partie par l'Etat, elles ont l'avantage de la proximité, mais l'enseignement y est rudimentaire.
1878 - Eglise de Bourail
La volonté d'éduquer à part les enfants de concessionnaires apparaît clairement après la création d'un internat de garçons à Néméara, près de Bourail, en 1878.
1878 - Ile Nou - Groupe d'enfants
Dans les écoles de Brousse où les enfants de fonctionnaires et colons libres côtoient les enfants de concessionnaires, ces derniers, "fichés" en fonction du casier judiciaire de leurs parents sont séparés dans les statistiques et lors des remises de prix.
1900 - Vue générale de Nouméa
En 1900, l'école des garçons s'installe dans les anciens locaux scolaires des pères maristes. Frédéric Surleau en prend la direction.
1893 - L'école communale - Vallée des Colons
Elise Noëllat (1867-1945) arrive en Nouvelle-Calédonie, avec ses parents, en 1869. Titulaire du certificat de capacité pour l'enseignement primaire, elle se voit confier l'école de la vallée des Colons lors de son ouverture en 1893. Elle la dirigera longtemps avec compétence et dévouement. L'école porte aujourd'hui son nom
1893 - Sortie de l'école des garçons (Nouméa)
En 1893, une école communale est construite à la vallée des Colons.
1880 - Pensionnat de la Conception
Il faut attendre 1880 pour que le conseil municipal de Nouméa vote la laïcisation des écoles. Cinq ans plus tard, l'instruction publique est dispensée dans 43 établissements de la Nouvelle-Calédonie : un collège, une école de pilotins et deux orphelinats entretenus par le budget local, onze écoles communales, trois écoles libres, six écoles entretenues par l'administration pénitentiaire et dix-neuf écoles indigènes, dont cinq à la charge du budget local et quatorze entretenues par la mission.
1873 - L'école Frédéric Surleau
Quelques cours privés s'organisent dans le chef-lieu, avec des instituteurs laïcs comme Frédéric Surleau en 1873, puis Suzanne Russier en 1878. Tous deux vont diriger les écoles publiques de Nouméa à leur création.
1873 - Hôtel du directeur de l'administration pénitentiaire à Nouméa
En 1873, les frères maristes ouvrent une école pour les garçons et, l'année suivante, un établissement secondaire. Ils s'installent en 1913 dans l'hôtel du directeur du bagne et laissent leurs bâtiments pour le collège public.
1863 - Ecole de Filles à la Mission de Saint-Louis
Le gouverneur Guillain fonde, en 1863, une école indigène - accessible à peu d'élus - qui forme des interprètes et des ouvriers artisans. Très contestée, elle ferme rapidement ses portes.
1863 - Eglise et école - Conception
La direction des écoles publiques est assurée par les religieuses de Saint-Joseph-de-Cluny et les frères maristes. L'instruction reste ainsi longtemps dominée par les congréganistes.
1859 - Missions des Pères Maristes en Océanie
Dès l'installation européenne, les missionnaires et les religieuses ouvrent des écoles pour enseigner aux Canaques, enfants comme adultes, les rudiments du français et l'éducation religieuse.